Actuellement, les patients et les différents acteurs de la santé communiquent essentiellement par e-mail, téléphone, courrier, voire même messagerie instantanée, ce qui n’est « pas très efficient, peu sécurisé, génère des coûts importants et peut entraîner des risques d’erreurs », a expliqué vendredi devant la presse à l’Hôpital du Valais Victor Fournier, chef du service valaisan de la santé.

Le dossier électronique du patient (DEP) doit désormais faciliter l’échange d’informations et assurer une prise en charge plus rapide et plus adéquate du patient.